ARTISTE

Daniel Martínez

Pour moi, le tatouage était et est ma vie et aujourd'hui, cela me remplit de satisfaction chaque fois qu'un client repart satisfait de l'expérience. Je l'emporte chez moi tous les jours. Cela ne cesse d'être quelque chose d'important pour eux, avec beaucoup de responsabilités et avec lequel vous laissez aux gens quelque chose pour toute leur vie.

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Daniel Martínez

Expérience: 11 ans

Style de tatouages: Géométrique

Études: Valencia

Voulez-vous en savoir plus sur Daniel ?

Comment êtes-vous devenu tatoueur ?

Depuis que j'ai eu mon premier tattoo, je m'y suis intéressé de près. C’est à partir de là que j'ai commencé à faire des recherches sur les techniques existantes, et je suis devenu obsédé tout ce monde-là a commencé à m’obséder.

Comment le monde du tatouage a-t-il changé votre vie ?

Ça a tout changé pour moi, j'ai quitté mon job pour m'y consacrer pleinement et passer du temps à faire ce que j'aimais, j'étais pratiquement toute la journée dans le studio à essayer de m'améliorer, d'apprendre... Je n'avais pas de vie et pas de temps pour autre chose que le tattoo.

Quel style de tatouage préférez-vous ?

Blackwork, dotwork, ornemental... c’est ceux que je travaille, mais j'aime aussi,entre autres, le néotradi et le tradi.

Qu'est-ce qui vous plaît le plus dans le fait d'appartenir à la communauté Noble Art ?

La camaraderie (c’est super important), la bonne communication entre tous, le bon fonctionnement de tout en général, et puis les détails qui sont soignés dans le studio, pour que le client ait la meilleure expérience possible avec nous. J’ajouterais l’enrichissement grâce à tous les collègues qui sont à nos côtés, c'est pour moi le meilleur endroit dans lequel je puisse évoluer.

Depuis combien d'années faites-vous du tatouage ?

J'ai commencé à tatouer il y a environ 10-11 ans à Oviedo, où je suis né. J'ai toujours été très intéressé par la mécanique et l'électronique et quand j'étais enfant, j’étais curieux de tout ça. J'ai eu mon premier tatouage à 14 ans et je me souviens de ce jour parce que ce qui n'était au départ que de la curiosité s’est transformé en besoin d'en apprendre le plus possible sur ce monde. Mais il ne s'agissait alors que d'un goût esthétique, artistique, je n'avais alors pas l'intention de m'y consacrer. Je suis passé de l'étude à la pratique presque sans m'en rendre compte, c’est venu naturellement. J'ai fait mes premières lignes en autodidacte, avec des pelures d'orange et des pommes de terre, et beaucoup plus tard en convainquant de bons amis (ces choses-là unissent beaucoup).